Quel joli texte...Tu as vu la lumière et sans plus attendre tu t'es saisie de ton clavier. J'imagine tes doigts courir frénétiquement sur les touches.
Tu as écrit quelques mots...Pas une missive géniale, une suite de banalités puis tu as disparu.
Le verbe « aimer » était un mot de passe bien commode mais dont la valeur paraissait t'échapper.
Je me sens bien....Si bien...Dans ma tête, dans mon corps, mon âme est libérée.
Quand ton déguisement s'est envolé, tu t'es enfin révélée.
Le ressentiment ne me conduit pas, j'ai été habité par une profonde compassion quand la vérité a jailli , crue et froide, je ne me suis pas effondré.
Je trie dans mon esprit et je conserve les meilleurs instants...Qu'il est bon de ne pas vivre dans la rancœur...
Ricardo SANTIAGO le 30 octobre 2012
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