Ricardo Eldorado Santiago

Un goût de rien 7 (fin)

par chroniquesterriennes.over-blog.com 6 Avril 2013, 05:49

Aujourd’hui commence une nouvelle vie. Je croyais que tout allait s’écrouler quand Mademoiselle B est partie, le sourire aux lèvres, enfant sous le bras....

Un jour il en a eu assez

par chroniquesterriennes.over-blog.com 5 Avril 2013, 06:41

Un jour il en a eu assez, il a tout balancé…C’était Verdun dans son appartement. Puisque personne ne l’aimait, plus rien n’avait d’importance. Il avait...

Un goût de rien 6

par chroniquesterriennes.over-blog.com 3 Avril 2013, 19:43

Je pleurnichais sur la corniche. Le lilliputien grandissait. Par un beau matin où je digérais à peine ma Ricoré, que vois-je ? Une jeune femme avec une...

Un goût de rien 5

par chroniquesterriennes.over-blog.com 1 Avril 2013, 09:04

Je suis bien, Chatelet, derrière les quais. Vie de couple. J’ai trouvé un job à la Fédé. Une association d’industriels qui faisaient dans la récupération....

Un goût de rien 4

par chroniquesterriennes.over-blog.com 31 Mars 2013, 13:48

LE GOUT DE RIEN, fin ! Soudain tout me parait différent. Adieu mes amis ! Au revoir Maman ! Malaise dans les escaliers, je vois Mme C. Petite femme d’un...

Un goût de rien 3 (peu importe le nombre de lecteurs)

par chroniquesterriennes.over-blog.com 30 Mars 2013, 16:01

Madame R et Monsieur R étaient respectivement la maman et le papa de Mademoiselle E dite B et qui en ces temps lointains était ma petite amie, enfin, pas...

Un goût de rien 2

par chroniquesterriennes.over-blog.com 29 Mars 2013, 05:13

Mal sapé, pas de monnaie, famille nombreuse, forcément des problèmes. Agitation, Mme E qu’on surnommait Mme B ou mademoiselle car à ce moment-là, elle...

Un goût de rien

par chroniquesterriennes.over-blog.com 27 Mars 2013, 20:26

J’ai reculé les aiguilles de l’horloge pensant qu’hier était mieux qu’aujourd’hui. Je suis remonté très loin. 17 ans c’est le bel âge, la vie nous ouvre...

Le pactole

par chroniquesterriennes.over-blog.com 26 Mars 2013, 06:31

LE PACTOLE Où donc s’était-elle fourvoyée ? Le galant homme que voilà, tout sucre, tout miel, on le voit arriver de loin avec ses grands pieds. Séduisant...