Je frappe à la porte virtuelle (virgule) des uns et des autres...Je vous fais le son du bruit quand on frappe à une porte : Toc ! Toc !
J'essaie d'exposer ma prose, drôle, c'est pas moi qui l'affirme, ce sont mes admiratrices, ma femme, ma chienne. Ca en fait deux.
Elles me disent : " Ricardo tes écrits sont rigolos"
Bon...Mireille, le toutou, aboie mais j'ai une maîtrise parfaite du langage des chiens.
Finalement, on ne semble pas me comprendre. Long silence...Je vais être franc, je ne reçois pour seule réponse que le reflet de visages désabusés, ce n'est pas de ma faute si le monde tourne mal. Pour mettre fin à mes réflexions (là), avant qu'on ne me claque la porte au nez (Blam !) j'essaie une blague à Toto. En vain.
Tant pis !
Je me retrouve soudainement devant un immense couloir sombre et des portes closes.
Des maisons closes dans les lotissements (hum !).
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