L'incendie ne brûle plus nos corps, notre amour est à jamais mort.
Qu'elles étaient suaves tes caresses qui brisaient ma détresse.
Qu'ils étaient plaisants ces baisers qui cassaient la monotonie de la réalité.
Les nuits étaient ardentes, lorsque nous étions dans notre antre.
Les souffles sous la voûte étoilée sont emportés, poussière de joie éparpillée.
Comme meurent les saisons, meurent les passions.
Je me retrouve solitaire, vague à l'âme en bandoulière.
Il ne reste que le souvenir des ces instants là dans ces moments las.
Texte Protégé Copyright © 2015 Ricardo SANTIAGO