Les serpents, les nuisibles, ceux qui dans l'ombre déversent leur bile, ceux dont la seule jouissance est de faire du mal, finissent toujours par payer.
Chaque jour, on doit composer, serrer les dents pour ne pas exploser.
Les convenances sont-elles de mises pour des sous-humains sans intérêt ?
Je reste calme, serein, pourtant je bous, ils sont là, leur hypocrisie en bagage, ils vous sourient, vous tapent dans le dos...Puis une fois que vous vous êtes éloignés, ils vous déversent leur venin.
Au fond, on peut se demander s’ils ne sont pas à plaindre.
Ces pauvres personnages sans épaisseur si ce n'est celle de leur médiocrité, leur vie sans relief, nageant dans leur bêtise.
Ricardo Santiago le 25 décembre 2011
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