Les gens deviennent marteaux à chaque tour de vis des pitres qui sont au sommet de la pyramide et qui nous regardent comme si nous étions leurs chiens.
A la maison ! Au pied ! A la maison ! Debout ! Assis !
Le métro se dégarnit de nouveau, comme mon collège qui a abusé du Pétrole Hahn, chauve qui peut !
Je sors mes vieilles vannes pourries, c’était prévu il ne rit pas, inaltérable.
Bozo le clown devant une armée de désespérés pas loin du suicide.
Devant l’échec de mes prestations, leurs mines d’enterrement, je me cache vite ! Vite !
Sous mon bureau où, pour me divertir, je lis Les misérables pour une belle tranche de rigolade.
A la cantine, c’est jour de deuil, mine de crayon : « A nos si merveilleuses années que nous avons gâchées et qui désormais s’éloignent à cause d’une merde chinoise qui nous emprisonne chez nous, nous rend suspect aux yeux des autres «
Néanmoins, d’ennui, on continue à s’acheter des babioles asiatiques chez le plus grand esclavagiste du monde.
Personnellement, à la sixième taupe, retour illico sous mon bureau.
Zola, c’est trop la rigolade, le Bip bip de mon application Qui qu’est mort continue à me bercer, mais me colle la blatte, je décide de la changer par l’application Qui qu’est en vie….
Et sous des milliers de Bip Bip je lis en tuant mon ennui.
Ricardo Santiago le 23 février 2021
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